Les substances interdites dans la pratique sportive
Les substances interdites dans la pratique sportive
La manipulation pharmacologique, chimique et physique est l’usage de substances et de procédés, incluant les agents masquants, qui altèrent, visent à altérer ou sont susceptibles d’altérer l’intégrité et la validité des échantillons recueillis lors des contrôles antidopage. Cette catégorie comprend, sans s’y limiter, la cathétérisation, la substitution et/ou l’altération de l’urine, l’inhibition de l’excrétion rénale et l’altération des concentrations de testostérone et d’épitestostérone. Pour info, “les stéroïdes anabolisants et l’hormone de croissance sont utilisés pour augmenter la masse musculaire et la puissance”, expliquait récemment la rédaction d’Allodocteurs.fr (France5). Ils ont également “également des effets sur la confiance en soi et la combativité”.
- La défense d’Andrea Iannone assure que son client n’a jamais injecté ce type de substances, et fait allusion à la possibilité que le pilote de Vasto ait consommé de la viande traitée avec des anabolisants sans le savoir lors de la manche asiatique du MotoGP, contaminant ainsi son corps avec une substance expressément interdite par l’AMA.
- A noter que les sportifs peuvent être malades ou présenter des conditions qui exigent la prise de médicaments particuliers.
- Tout améliorant anabolique sont soumis à une législation stricte dans la régulation du dopage.
- Le sport intensif engendre une vieillesse prématurée de l’organisme.
Cumuler entraînement et weight gainer permet de progresser de manière plus importante. Vous l’aurez compris, l’idéal est de mixer ces ingrédients pour stimuler chacune de ces hormones pour créer un environnement anabolique maximal. Il existe également des aliments boosters de testostérone à mettre au menu.
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Les narcotiques sont des substances puissantes contre la douleur, comportant la morphine et ses dérivés. Leur usage prolongé expose à un risque de dépendance physique ou psychique. Les stéroïdes anabolisants ont d’abord été développés dans les années 1930, et sont maintenant utilisés en médecine thérapeutique pour stimuler la croissance osseuse et l’appétit, provoquer la puberté masculine et traiter certaines maladies chroniques, ou encore lutter contre le cancer et le SIDA. Le dopage sanguin, y compris l’utilisation de produits sangins autologues, homologues ou hétérologues, ou de globules rouges de toute origine.
- Cependant, le formotérol, le salbutamol (7), le salmétérol et la terbutaline sont permis par inhalation seulement pour prévenir et/ou traiter l’asthme et l’asthme ou bronchoconstriction d’effort.
- Avec l’hydrocortisone (cortisol) dont elle dérive, elle fait partie de la classe des glucocorticoïdes utilisés pour leurs effets anti-inflammatoires, anti-allergiques et euphorisants.
- Andrea Iannone peut demander l’analyse de l’échantillon B prélevé en même temps que le A révélé positif, le 3 novembre 2019 à Sepang.
Un grand nombre de bodybuilders (ainsi que certains professionnels de la médecine) pensent qu’un apport en hormone de croissance entraîne une croissance musculaire chez les individus normaux. Cette idée est erronée et a été réfutée par de nombreuses études cliniques. Il est reconnu que la testostérone se lie aux récepteurs d’androgènes (RA) et glucocorticoïdes. Il en va de même pour les différents dérivés de la testostérone, qu’ils interviennent de façon naturelle ou artificielle (ces substances sont connues sous le terme de stéroïdes androgéniques anabolisants ou SAA).
Les substances interdites dans la pratique sportive
La présence dans l’urine de salbutamol à une concentration supérieure à 1000 ng/mL ou de formotérol à une concentration supérieure à 40 ng/mL n’est pas cohérente avec une utilisation comme traitement médical de l’asthme. Elle est donc considérée comme un résultat d’analyse anormal (RAA, dopage), à moins que le sportif ne prouve par une étude de pharmacocinétique contrôlée que ce résultat anormal est bien la conséquence d’une dose thérapeutique (par inhalation) jusqu’à la dose maximale anabolisants légaux prix indiquée ci-dessus. Dans cette famille de produits, on distingue les stéroïdes anabolisants dits « endogènes » (qui sont naturellement fabriqués par le corps) et les stéroïdes anabolisants dits « exogènes » (ceux qu’on ne retrouve pas naturellement dans le corps). En médecine, les thérapies à partir de substances anabolisantes visent à traiter des maladies telles que l’anémie, l’ostéoporose, le diabète, l’hypogonadisme, l’impuissance, la dysphorie de genre et le nanisme.
Les risques pour la santé
Pentathlon moderne (UIPM) (0,10 g/l) pour la discipline du pentathlon moderne. Nouaille, Les substances et les médicaments interdits dans la pratique sportive, Actualités Pharmaceutiques, vol.52, issue.523, pp.18-29, 2013. Les médicaments destinés à dilater les bronches des personnes asthmatiques (famille des bêta-2 agonistes) sont interdits hors et pendant les compétitions.
La cortisone est une hormone normalement produite par la partie externe des glandes surrénales (corticosurrénales). Avec l’hydrocortisone (cortisol) dont elle dérive, elle fait partie de la classe des glucocorticoïdes utilisés pour leurs effets anti-inflammatoires, anti-allergiques et euphorisants. Leur utilisation dans la pratique sportive repose sur son action antalgique due à l’effet anti-inflammatoire qui soulage la douleur. Ils entraînent également un effet euphorisant provoquant la surexcitation, ils stimulent la volonté et reculent le seuil de perception de la fatigue au cours de l’effort.
Ainsi, ils provoquent un développement rapide de la masse musculaire sans pour autant induire l’accumulation de graisse corporelle. Le sportif a reçu l’autorisation d’usage à des fins thérapeutiques d’une ou plusieurs substances interdites listées ci-dessous conformément aux conditions stipulées dans le présent document. Les substances dopantes et les méthodes de dopage interdites figurent sur une liste qui répond à une double préoccupation de protection de la santé des sportifs d’une part, et de l’esprit et l’éthique sportif, d’autre part.
Comprendre ce qu’est la testostérone et comment optimiser sa production naturelle – Partie 1
Les substances stimulantes agissent sur le cerveau et permettent d’augmenter la vigilance. Elles augmentent artificiellement les performances et la résistance des sportifs. Les substances stimulantes sont interdites pendant la compétition. Certains de ces stimulants appartiennent à la famille des amphétamines, qui ne sont plus commercialisées en France en raison de l’observation d’effets indésirables graves (troubles cardiovasculaires et psychiatriques).
Comme nous l’avons vu précédemment, les hormones anabolisantes (testostérone, hormone de croissance, insuline et IGF1) permettent d’épaissir les fibres musculaires et de les multiplier donnant plus de volume et de force aux muscles. Un entrainement intense, l’avancée dans l’âge, un régime pauvre en graisses et le stress (cortisol) sont des facteurs qui font baisser la production de testostérone. Les stimulants hormonaux permettent d’augmenter la synthèse des protéines musculaires et donc d’épaissir les fibres de type 2, celles qui ont le plus fort potentiel de développement. A ne pas confondre avec les stéroïdes anabolisants, les stimulants servent à soutenir les fonctions hormonales naturelles et plus particulièrement à booster la production de testostérone ou de GH.
Les bronchodilatateurs interdits par la lutte contre le dopage
On distingue la testostérone totale dont 96 à 98% s’associe avec une protéine (SHGB) et devient inactive. Seule la testostérone libre représentant 2 à 4 % de la testostérone totale a une action sur la construction musculaire et la libido. Jusqu’à récemment, les IGF et en particulier les IGF-I ont été associés avec l’anabolisme musculaire.
Les stimulants hormonaux sont issus de plantes, de minéraux ou de nutriments. C’est le cas de la Mucuna Pruriens, des acides aminés, protéines et même des glucides, par le biais de l’insuline, qui stimulent la GH, de l’Eurycoma longifolia du tribulus terrestris, du zinc ou du magnésium, qui favorisent l´augmentation de la testostérone. Leur rôle est de stimuler les mécanismes naturels de production d’hormones. Ils ne se substituent pas à la production d’hormones mais viennent en renfort, booster la production hormonale, sans risque pour la santé.